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Prends courage, mon enfant, tes péchés te sont pardonnés. Matthieu 9:2

Le chapitre précédent montre Jésus dans le pays des Gadaréniens, sur la côte orientale du lac. Il retourne maintenant à Capernaüm. Dans ces deux chapitres le Seigneur dévoile son autorité sur les forces de la nature (Matthieu 8:23-27), les démons (Matthieu 8:28-34) et la maladie (Matthieu 9:1-8). Il a même l’autorité de pardonner les péchés (Matthieu 9:2).

« Jésus, étant monté dans une barque, traversa la mer, et alla dans sa ville. Et voici, on lui amena un paralytique couché sur un lit. Jésus, voyant leur foi, dit au paralytique : Prends courage, mon enfant, tes péchés te sont pardonnés. » (Matthieu 9:12)

Un paralytique couché sur un lit

Le fait que l’homme est amené à Jésus sur un lit indique qu’il souffrait d’une paralysie grave. Les paroles de pardon de Jésus peuvent signifier que la paralysie était la conséquence directe des péchés de cet homme.

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Jésus, voyant leur foi

Jésus voit la foi des quatre porteurs et de l’homme lui-même. Le malade et ses amis montrèrent leur foi en franchissant de nombreux obstacles pour venir demander de l’aide à Christ. Marc et Luc nous informent qu’il y avait une telle foule que l’homme dut être descendu par le toit, (voir Marc 2:4 ; Luc 5:19).

« Car, lequel est le plus aisé, de dire : Tes péchés sont pardonnés, ou de dire : Lève-toi, et marche ? Or, afin que vous sachiez que le Fils de l’homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les péchés : Lève-toi, dit-il au paralytique, prends ton lit, et va dans ta maison. » (Matthieu 9:5-6)

Lequel est le plus aisé

Il est certainement plus facile d’affirmer détenir le pouvoir d’absoudre les péchés que de manifester le pouvoir de guérison. Christ prouva ici qu’il avait le pouvoir de pardonner lorsqu’il guérit instantanément l’homme de sa paralysie. S’il pouvait accomplir ce qui semblait plus difficile, il pouvait faire aussi ce qui paraissait plus facile. Le pardon des péchés était pourtant l’œuvre la plus difficile des deux, puisque finalement Jésus dut sacrifier sa vie.

Lève-toi, prends ton lit, et va dans ta maison

Le « lit » était une simple natte ou même un drap que l’on pouvait enrouler et porter dans sa main. Parfois, le pauvre n’avait que son habit sur lequel il se couchait (voir Deutéronome 24:12-13). Les plus riches avaient des sortes de matelas remplis de coton qu’ils mettaient par terre ou sur un divan (voir 2 Rois 1:4).

Au paralysé guéri, Jésus ordonne de prendre son lit et de rentrer chez lui. Tout ce qu’il avait à faire était d’enrouler son drap. Une scène semblable s’est déroulée à la piscine de Béthesda (voir Jean 5:8, 9, 11, 12). Il était facile de transporter des malades sur de tels « lits » (que l’on plaçait sans doute sur un brancard (voir Matthieu 9:2 ; Marc 2:3-4 ; Luc 5:18 ; Actes 5:15).

Il se leva, et s’en alla dans sa maison.

La foi de cet homme a été démontrée par son sérieux à venir à Christ en dépit des obstacles, et il a reçu une guérison instantanée.

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