
Moi je ne t’oublierai point. Esaïe 49:15
Il arrive que certaines mères négligent leurs enfants ; les compassions de Dieu envers nous sont infiniment supérieures à celles des parents les plus tendres…
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2 Co 13 v 8 : « Car nous n’avons pas de puissance contre la vérité ; nous n’en avons que pour la vérité.
Nous nous réjouissons lorsque nous sommes faibles, tandis que vous êtes forts ; et ce que nous demandons dans nos prières, c’est votre perfectionnement. »
De plus en plus nous réalisons l’ampleur et l’enjeu de notre marche sur cette terre, le combat, le positionnement que nous devons avoir dans la foi et qui nous attache à la vérité.
Nombreuses sont les occasions de se détourner de cette vérité exprimée par la réalité de l’évangile pour suivre notre propre volonté en lieu et place de la volonté du Père.
Nombreuse sont les tentations de modifier cette parole de vérité pour arranger notre conscience et ne pas obéir à l’injonction de l’esprit.
Nombreux sont les moments de flottement où nous détournons nos regards de ce miroir qu’est la parole de Dieu qui nous renvoi le juste reflet de qui nous sommes.
Que d’énergie perdue lorsque nous tombons dans les pièges de l’ennemi en trouvant chez un frère ou une sœur la raison suffisante pour nous éloigner de cette parole de vérité.
Peut-être avons nous été blessé par tel ou tel comportement d’un frère, une sœur ou d’un pasteur ?
Dieu est le chef d’orchestre de nos circonstances. Il nous teste, nous façonne, nous redresse, nous convainc, nous nourrit, nous corrige, nous console, nous enracine.
Cette parole de vérité est une épée qui incise, blesse, contrarie, notre être en vue de destituer la domination du vieille homme sur le trône de nos cœurs et ainsi revêtir Christ dans notre esprit, la nourriture venu du ciel qui régénère l’homme intérieur.
Rappelons-nous que l’Église est un corps et qu’à chaque fois que nous portons un jugement, une condamnation contre un frère, une sœur, c’est contre nous-mêmes que nous le faisons car nous sommes membres les uns des autres. C’est pourquoi nous devons être des ouvriers de paix travaillant sans relâche à l’unité de l’esprit dans le corps.
N’oublions pas que lorsque nous faisons la lumière sur une situation, plus rien ne demeure dans les ténèbres.
Je nous encourage à n’être contre personne mais à être pour Christ.
Que le Dieu de toute grâce et de toute consolation nous accorde d’avoir nos cœurs tricotés ensemble en vue de former cet édifice spirituel appelé l’épouse de Christ.
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