Rechercher sur le site

Entrez les mots-clés dans la boîte ci-dessous :

Vous aimez nous lire?

Soutenez-nous !

Considérons Jésus à la croix

A la croix, nous voyons le courage de Jésus, car c’est la mort la plus horrible, la plus terrible qu’il semble être. C’est une agonie atroce, qui peut être très longue. Sous les injures et les moqueries, alors que l’innocence est complète !
• Le corps est posé et étiré de telle manière que chaque mouvement provoque des souffrances.
• Les clous sont placés pour faire souffrir, chaque mouvement provoque des fortes douleurs
• Les plaies du fouet et des clous vont vite s’infecter et faire encore plus souffrir.
• La circulation du sang est entravée par les contractions musculaires, et provoque d’autres souffrances.
• L’agonie augmente à chaque instant.
• La position rend la respiration difficile. Les crucifiés pouvaient mourir d’asphyxie. C’est ce qui arrivait en général. Après plusieurs jours de souffrances, Jésus a décidé du moment où il mourut.
• La soif et la fièvre devaient encore en rajouter.
Jésus savait ce que représentait la crucifixion. Il était Dieu et connaissait toute chose. Il était homme et en avait déjà vu ! Pouvait-il reculer ? D’une part oui et d’une part non ! Il avait choisi d’obéir au Père. Il avait même choisi celui qui devait le trahir. Il a voulu endurer la souffrance jusqu’au bout en refusant l’opiate, qui calmerait ses souffrances, en endormant les suppliciés. C’est le plus grand acte de courage, de savoir qu’à la fin de sa vie, l’attend la torture, et de continuer fermement sur ce chemin alors qu’il est le saint de Dieu.
A la croix nous voyons l’humanité de Jésus.
Jésus était véritablement un homme qui va souffrir pleinement sur le chemin qui le mène à la croix. Il tombe sous le poids de la croix. Il vécut pleinement les douleurs et Barclay, écrivain écossais, ministre de l’Église d’Écosse et professeur de divinité et de critique biblique à l’Université de Glasgow, écrit : « Un des grands buts de l’histoire de la croix est de montrer la réelle et pleine virilité de Jésus la complète réalité de sa souffrance. Ce corps n’est pas un fantôme mais la chair humaine tremblante. Ce n’est pas une imitation de souffrance, mais une terrible réalité d’agonie ».
A la croix nous voyons Jésus unis au pécheur.
Il est placé entre 2 criminels. «…On a mis sa tombe parmi les méchants…». «…Il est au nombre des malfaiteurs…» Esaïe 53.9 &12. Il avait été l’ami des publicains et autres pécheurs. Matthieu 11.19, il meurt donc avec eux.
A la croix nous voyons l’invincible pardon de Jésus.
Quand il prie «…Père pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font…» Luc 23.34. Le message du pardon divin est annoncé dans les souffrances de la croix !
A la croix nous voyons le désintéressement de Jésus.
Car alors qu’il est dans la souffrance, il pense à sa mère et la confie à Jean, Jean 19.26. Il assure le brigand qui se repent d’être au paradis avec lui. Il prie pour ses bourreaux. Il pense toujours et encore aux autres. Il refuse d’utiliser sa puissance pour son gain ou profit, pour son confort ou sa sécurité. Car il aurait pu inviter une légion d’anges à son service et à son secours, Matthieu 26.53 & Jean 18.16.<
A la croix nous voyons l’insondable amour pour l’homme et son salut;
Alors que Jésus s’écrie «…Mon Dieu, mon Dieu pourquoi m’as-tu abandonné ?…» Ce cri présente sa situation humaine, il passe par les ténèbres pour notre salut. Il est allé au pire de la situation humaine.
A la croix nous voyons la royauté de Jésus.
L’annonce de sa condamnation l’affirme « Roi des Juifs » Dans toutes les situations il s’est comporté avec majesté, il est Roi, Matthieu 27.37.
A la croix nous voyons la paix de Jésus.
Il meurt dans une prière de paix, «…Père je remets mon esprit entre tes mains…», Luc 23.46. Juste avant il avait formulé une autre parole, «…Tout est accompli…», Jean 19.30.
A la croix nous voyons le triomphe de Jésus.
Ce triomphe est dans cette parole «…Tout est accompli…» Il a achevé sa tâche !
La constatation du centenier est extraordinaire «…cet homme était juste…», Luc 23.47.
Ceux qui étaient avec le centenier, c’est à dire les soldats, font une constatation extraordinaire «…il était vraiment le fils de Dieu !…», Matthieu 27.54.

Chrétiens TV

Les commentaires sont fermés.

 
        
                    
     

LES ARTICLES LES PLUS LUS