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Si vous portez beaucoup de fruit, c’est ainsi que mon Père sera glorifié, et que vous serez mes disciples. Jean 15:8

Moi, je suis le vrai cep, et mon Père est le cultivateur… Moi, je suis le cep, vous, les sarments… En ceci mon Père est glorifié, que vous portiez beaucoup de fruit. Jean 15. 1, 5, 8

Le vrai cep (1)

“Je suis le cep”. Ces deux mots “Je suis”, nous rappellent tout d’abord que le Seigneur Jésus est le grand “JE SUIS” qui s’est révélé à Moïse (Exode 3. 14), l’Éternel, ce Dieu qui ensuite “a été manifesté en chair” (1 Timothée 3. 16).
En tant que cep, le Seigneur Jésus contraste avec la nation d’Israël, présentée aussi comme le cep, la vigne de Dieu, mais qui n’a pas produit de fruit pour lui (Psaume 80. 8 ; Ésaïe 5. 1-7 ; Jérémie 2. 21). Jésus est donc “le vrai cep” car contrairement à Israël, il était toujours dépendant du cultivateur, de son Père. En se présentant comme un cep, le Seigneur Jésus insiste sur cette dépendance de son Père : “Moi, je suis le vrai cep, et mon Père est le cultivateur”. Il nous le rappelle lorsqu’il dit : “Le Fils ne peut rien faire de lui-même, sinon ce qu’il voit faire au Père” (Jean 5. 19). Il dit à Philippe : “Ne crois-tu pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi ? Les paroles que moi je vous dis, je ne les dis pas de par moi-même ; mais le Père qui demeure en moi, c’est lui qui fait les œuvres” (Jean 14. 10). De même, attachés au cep, à Christ, nous devons avoir, comme lui, une relation de dépendance étroite de notre Père. Rappelons-nous que le fruit est pour lui, pour sa gloire !
En Ésaïe 27. 2-6, nous voyons le caractère du cultivateur et ce que sa vigne représente pour lui : il veille fidèlement sur elle jour et nuit, la protège de tout intrus, l’arrose et lui apporte tous les soins dont ses plants ont besoin pour s’épanouir et fleurir. Ce que le “cultivateur” a fait pour Israël et fera encore pour lui dans un jour à venir, il le fait maintenant pour chacun d’entre nous ; nous pouvons donc avoir une absolue confiance en lui pour pourvoir à tout et nous protéger, tant que nous demeurons attachés au cep et que nous cherchons à porter du fruit.
Aimons-nous nous asseoir aux pieds du Seigneur pour être rafraîchis, nourris et rendus ainsi aptes à porter du fruit ? Selon une autre image, pouvons-nous dire comme la fiancée comparant son bien-aimé à un pommier : “J’ai pris plaisir à son ombre, et je m’y suis assise ; et son fruit est doux à mon palais” (Cantique des cantiques 2. 3) ?
d’après T. Hadley

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