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Assemblee Nationale : Grosses inquiétudes de Cavaye Yeguie Djibril au parlement

 évoquées  dans son discours de clôture de la session parlementaire de Novembre 2022, elles créaient un tollé général au sein de  l’opinion

Samedi , 10 Novembre 2022 s’est tenu à l’hémicycle du palais des congres de Yaoundé la plénière de clôture de l’assemblée national. En présence du gouvernement et des corps constitués de la république, le président de la chambre basse a émis devant la représentation nationale quelques inquiétudes. Il les a résumé en deux points :

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Le premier porte sur la crise climatique. La récente COP 27 en Egypte s’est achevée sur un bilan mitigé. Certes, l’adoption d’un fonds spécial pour la réparation des dégâts climatiques dans les pays en développement, est une avancée notable. “je demeure convaincu que l’Afrique, dont le Cameroun, risque de subir pendant longtemps encore, les effets néfastes des changements climatiques.
En attendant la manne des pays industrialisés, n’est-il pas déjà temps, mais alors grand temps, d’envisager des solutions endogènes et durables ? Des solutions susceptibles de renforcer la résilience climatique du Cameroun. Est-il possible de transformer les changements climatiques en opportunités d’amélioration ou d’innovations au bénéfice de notre développement national ? ‘’ Va-t-il déclarer

La seconde inquiétude, concerne les ressources. Elles sont financières, matérielles, mais aussi et surtout humaines. Des ressources humaines en quantité, de qualité, pour une main d’œuvre qualifiée. Avec l’option de la professionnalisation des enseignements, il est loisible d’observer un boom des diplômés de l’enseignement supérieur. Paradoxalement, le déficit, déjà important des compétences au niveau des métiers de base, est grandissant. Une situation qui pousse le député du Mayo Sava a dire  » Des milliers de jeunes sont ainsi sans métiers et ne peuvent ni s’insérer dans le secteur productif, encore moins s’installer en auto-emploi afin de devenir acteur de l’industrialisation. Alors question : à défaut d’une révolution, n’est-il pas possible de penser à une réforme de la formation professionnelle ? »

Des interrogations et autre craintes  qui arrivent au moment où l’immense majorité des camerounais se demande comment ils feront pour survivre en 2023. Car le projet de loi de finances adopté durant cette session annonce des moments difficiles pour le citoyen ordinaire

 

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